Environ 3,8 millions de personnes ont eu ou vivent avec un cancer en France, d’après la dernière estimation de l’INCa en 20171. Parmi ces patients, on estime que plus de 80 % ont perdu du poids depuis le début de la maladie et environ 40 % sont dénutris2. Un suivi nutritionnel tout au long du parcours de soins est recommandé3,4,5. Médecins, pharmaciens, infirmiers, diététiciens… vous avez tous un rôle à jouer dans ce suivi nutritionnel6. Cet article revient notamment sur les points-clés des recommandations de l’Institut National du Cancer (INCa) et de la Société Francophone Nutrition Clinique et Métabolisme (SFNCM*) sur la nutrition chez les patients atteints de cancer3,4,5,7,8. Les recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) pour le diagnostic et la prise en charge d’une dénutrition sont également citées9,10,11,12


L’INCa conseille de suivre les mêmes recommandations nutritionnelles que pour la prévention des cancers pour l’ensemble des patients atteints de cancer, sauf si une situation médicale ou l’avis d’un professionnel de santé nécessite une adaptation particulière5,7.  

Voici plusieurs repères et conseils cités par l’INCa :

  • Avoir une alimentation riche en céréales complètes, légumes secs, fruits et légumes 
  • Limiter la consommation d’aliments riches en matières grasses ou en sucres5  
  • Limiter la consommation de viandes et charcuteries
  • Limiter la consommation d’alcool, voire éviter toute consommation d’alcool (en particulier dans le cas des cancers des voies aérodigestives supérieures)3,4,5 
  • Ne pas utiliser de compléments alimentaires en l’absence d’indication médicale3,4,5 
  • Ne pas recourir aux extraits et décoctions de champignons et plantes médicinaux chinois3,4 
  • Ne pas pratiquer un jeûne thérapeutique, et ne pas suivre un régime restrictif en l’absence d’indication médicale3,4,5

D’une manière générale, lorsque cela est adapté, il est aussi recommandé aux patients atteints de cancer de maintenir un poids de forme ou « poids santé »3,5,7. Toutefois, il convient de prendre en compte les points de vigilance sur la perte de poids délivrés par l’INCa dans plusieurs de ses publications : 

  • Pour l’ensemble de vos patients : il est recommandé aux patients d’effectuer une mesure de leur poids 1 fois par semaine, et de demander l’avis d’un professionnel de santé en cas de variation rapide ou importante car une perte de poids peut signaler une dénutrition5.  
  • Pour vos patients atteints du côlon-rectum, du sein et du rein : il est recommandé d’éviter une perte de poids chez les patients en surcharge pondérale, tout comme il est aussi recommandé d’éviter une prise de poids pour les patients de poids normal ou en excès de poids3,4
  • Pour vos patients atteints de cancers du poumon et de l’œsophage : il est recommandé d’éviter toute perte de poids3,4
  • Pour vos patients en surcharge pondérale : il est conseillé d’attendre la fin des traitements pour revenir à un poids normal5.  
  • Chez vos patients âgés de plus de 70 ans : il convient d’éviter une perte de poids pendant et après les traitements5.  

Enfin, l’INCa rappelle l’importance d’associer ces recommandations nutritionnelles à la pratique d’une activité physique régulière : au moins 30 minutes d’activités physiques dynamiques par jour, et limiter la position assise sur de longues périodes en prenant le temps de marcher un peu toutes les 2 heures3,4,5,7. Si besoin, les médecins généralistes ou les spécialistes peuvent envisager la prescription d’un programme d’activité physique adaptée (APA) dispensé par des professionnels (exemples : masseurs-kinésithérapeutes, ergothérapeutes, psychomotriciens…)3,4,13. Ce programme peut associer différents types d’exercices, notamment d’endurance et de renforcement musculaire13

L’INCa appelle à une vigilance particulière tout au long du parcours de soins des patients atteints de cancer pour la prévention et le repérage de la dénutrition14. Autrement dit, tous les acteurs du parcours de soins en cancérologie peuvent avoir un rôle à jouer : médecins généralistes, spécialistes, infirmiers, pharmaciens, etc.14,15,16

 

1. Repérage des signes d’une dénutrition, quel que soit votre lieu d’exercice 

Vous pourriez repérer les premiers signes d’une dénutrition que sont la perte de poids et la diminution des apports alimentaires : les vêtements de votre patient paraissent très lâches, sa montre semble flotter, il se plaint de ne plus avoir d’appétit, il saute des repas, il perd du poids…17,18  

Les patients doivent être redirigés vers un médecin pour poser ou écarter le diagnostic d’une dénutrition12.  

 

2. Suivi de l’état nutritionnel des patients en consultation et dans les établissements de santé 

Au regard des recommandations de l’INCa, de la SFNCM et de la HAS, l’évaluation du statut nutritionnel doit inclure au moins ces quatre paramètres chez vos patients adultes atteints de cancer8,9,10,11,14 :

  1. Évaluation des ingesta  
  2. Mesure du poids et suivi de l’évolution  
  3. Calcul de l’Indice de Masse Corporelle (IMC)  
  4. Évaluation de la force musculaire et de la masse musculaire 

 

3. Diagnostic d’une dénutrition par un médecin sur la base des critères de la HAS 

La HAS n’a pas établi de critères spécifiques pour le diagnostic de la dénutrition chez les patients atteints de cancer19. Il faut se référer aux critères établis pour la population générale : le diagnostic de dénutrition peut être posé en présence d’au moins un critère étiologique, et d’au moins un critère phénotypique9,10,11. 

La présence d’une pathologie maligne évolutive étant considérée comme un critère étiologique, il suffit pour poser le diagnostic de dénutrition chez vos patients adultes atteints de cancer d’identifier au moins l’un de ces critères phénotypiques9,10,11 : 

  • Perte de poids importante : ≥ 5 % en 1 mois ou ≥ 10 % en 6 mois ou ≥ 10 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie 

  • IMC bas : IMC < 18,5 kg/m2 chez les adultes entre 18 et 69 ans, ou IMC < 22 kg/m2 chez les adultes de 70 ans ou plus 

  • Diminution de la masse et/ou de la fonction musculaire : réduction quantifiée de la masse musculaire et/ou de la fonction musculaire chez les adultes de moins de 70 ans, ou sarcopénie confirmée par une réduction quantifiée de la force et de la masse musculaire chez les adultes de 70 ans ou plus 

Pour une information complète, se référer aux textes des recommandations de la HAS. 

La SFNCM recommande d’intégrer une évaluation nutritionnelle au dispositif d’annonce du cancer8. Dans un dossier de presse, la SFNCM relaie cette estimation : 30 à 50 % des patients atteints de cancer ont perdu du poids et sont potentiellement dénutris avant le début du traitement20

L’INCa indique ensuite la nécessité d’effectuer un suivi régulier de l’état nutritionnel de vos patients tout au long de leur parcours de soins14.  

Les recommandations de la HAS précisent qu’il faut dépister systématiquement la dénutrition à chaque consultation en médecine de ville chez les patients de tout âge9,10,11. La surveillance de l’état nutritionnel doit être réalisée à intervalles réguliers dans les établissements de santé : la fréquence peut être hebdomadaire, bimensuelle, ou mensuelle selon les cas9,10,11. Nous vous invitons à lire notre article « Dépistage et diagnostic de la dénutrition » pour avoir plus de renseignements à ce sujet. 

Pour une information complète, se référer aux textes des recommandations de la HAS.

En cas de dénutrition mais aussi quel que soit leur statut nutritionnel, vos patients atteints de cancers peuvent bénéficier d’un accompagnement par un diététicien ou un médecin nutritionniste5,14.  

Cette prise en charge diététique et nutritionnelle fait partie des 9 soins de support considérés comme indispensables au parcours de soins des patients de cancer21. Elle figure plus exactement dans le « socle de base » des soins de support au même titre que la prise en charge de la douleur, la prise en charge psychologique, et la prise en charge sociale, familiale et professionnelle21,22.  

L’INCa souligne que les soins oncologiques de support font partie intégrante de la prise en charge d’un cancer, et doivent ainsi être proposés à tous vos patients21. Les besoins en soins de support doivent faire l’objet d’une évaluation dès l’annonce du diagnostic de cancer et le début de la prise en charge du patient, puis d’une réévaluation tout au long du parcours de soins (pendant et après les traitements)21.  

L’INCa met à disposition des grilles de repérage et d’évaluation des besoins en soins de support21,23. Voici 6 questions sur la dimension nutritionnelle23 :

  1. « Si l’on considère que, avant l’annonce de votre maladie, vous mangiez « 10 sur 10 », combien mangez-vous actuellement sur une échelle de 0 à 10 (0 = vous ne mangez rien et 10 = vous mangez des quantités comme d’habitude) ? » 
  2. « Précisez votre poids avant l’annonce de la maladie, votre poids actuel et votre taille ? » 
  3. « Avez-vous des difficultés à avaler ? » 
  4. « Avez-vous des nausées/vomissements/diarrhées qui impactent votre prise alimentaire ? » 
  5. « Faites-vous un ou des régime(s) restrictif(s) (jeûne, régime pauvre en sucre, en gras…) sans prescription médicale telle que pour le diabète, le cholestérol… ? » 
  6. « Avez-vous déjà eu un suivi/reçu des conseils adaptés en nutrition ? » 

Les modalités de la prise en charge nutritionnelle de la dénutrition ont été définies par la HAS en 200712 : 

  • Des conseils nutritionnels et un enrichissement de l’alimentation en première intention ; 

  • L'usage de compléments nutritionnels oraux (CNO) quand les mesures diététiques ne suffisent pas ; 

  • La mise en place d'une nutrition artificielle en dernier recours. 

En 2021, la Société Européenne de Nutrition Clinique et Métabolisme (ESPEN) a précisé les besoins en énergie et protéines chez les patients atteints de cancer24 : 

  • Un besoin journalier en énergie entre 25 et 30 kcal par kilogramme de poids corporel ; 

L’INCa recommande une réévaluation des besoins en soins de support, notamment sur la dimension nutritionnelle, à toutes les étapes du parcours de soins des patients atteints de cancer : à l’occasion des différentes séquences de soins (chimiothérapie, radiothérapie…), à la fin du traitement actif, ainsi que dans la phase de l’après-cancer23

Une dénutrition peut être favorisée ou aggravée par les effets secondaires des traitements des cancers : perte d’appétit, modification du goût et de l’odorat, troubles digestifs, sécheresse de la bouche, douleur dans la bouche, difficultés à avaler ou à mastiquer, etc. 25,26,27 

Il est possible de délivrer des conseils aux patients pour leur permettre d’adapter leur alimentation en conséquence (exemples : fractionner les repas en cas de perte d’appétit ou de problèmes de digestion, consommer les repas froids pour limiter la perception des goûts qui pourraient être exacerbés, privilégier les produits épais en cas de fausse route et envisager l’utilisation d’une poudre épaississante si besoin, etc.)28,29,30

 

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Un accompagnement par un diététicien ou un médecin nutritionniste peut être recommandé aux patients pour adapter leur alimentation30,31.

Il est aussi important de tenir compte des difficultés rencontrées par vos patients lors de la prescription et la délivrance de compléments nutritionnels oraux (CNO)12,28. Ces produits se déclinent en une grande variété de saveurs et de textures pour s’adapter aux goûts des patients et faciliter leur consommation30.

La HAS recommande de vérifier régulièrement que les CNO prescrits sont bien consommés12. Des adaptations peuvent être envisagées si besoin12,28

Voici 9 conseils qui peuvent contribuer à faciliter la prise de CNO :

  1. Rappeler le rôle des CNO et l’objectif à atteindre, et sensibiliser les patients aux conséquences possibles d’une dénutrition au cours de la prise en charge d’un cancer (réduction de l’efficacité des traitements anticancéreux, augmentation du risque de complications associées aux traitements…)32,33,34,35 
  2. Varier les goûts selon les préférences du patient (salés, sucrés…)12,28 
  3. Envisager un CNO au goût neutre, que les patients peuvent agrémenter à leur convenance12 
  4. Évoquer la variété de textures des CNO, en sachant que les CNO lactés sont généralement préférés par les patients atteints de cancer36,37  
  5. Adapter la texture du CNO en cas de difficultés à avaler28  
  6. Donner des conseils sur la température à laquelle consommer les CNO12,32,37 : les produits sucrés sont souvent plus appréciés quand ils sont servis bien frais, et les produits salés sont généralement à consommer chaud (se référer aux conseils d’utilisation : pour ne pas dénaturer le produit, il est souvent recommandé de les réchauffer sans faire bouillir au bain-marie ou au micro-ondes) 
  7. Informer les patients sur la possibilité de fractionner la consommation de leurs CNO en plusieurs prises réparties dans la journée30,32 
  8. Conseiller aux patients de consommer lentement les CNO pour une meilleure tolérance digestive et faciliter la digestion32 
  9. Rediriger éventuellement les patients vers des recettes pour intégrer les CNO à leurs recettes du quotidien32 : des recettes sont disponibles en ligne, notamment dans la rubrique « Recettes » de notre site internet fresubin-et-moi 

En résumé, l’état nutritionnel de vos patients atteints de cancer doit être contrôlé dans le cadre du dispositif d’annonce de la maladie puis de manière régulière tout au long du parcours de soins8,14. Plusieurs paramètres doivent être surveillés pour repérer la survenue éventuelle d’une dénutrition : une diminution des ingesta, une perte de poids, un IMC bas, et une réduction de la force musculaire et de la masse musculaire8,9,10,11,14. Quel que soit leur statut nutritionnel, tous vos patients atteints de cancer peuvent bénéficier d’un accompagnement par un médecin nutritionniste ou un diététicien dans le cadre des soins de support5,21. Si une dénutrition est constatée, il faut se référer à la stratégie de prise en charge nutritionnelle définie par la HAS : des conseils nutritionnels et un enrichissement de l’alimentation en première intention, l'usage de compléments nutritionnels oraux (CNO) quand les mesures diététiques ne suffisent pas, et la mise en place d'une nutrition artificielle en dernier recours12. Il est important de rester vigilant à l’état nutritionnel de vos patients pendant et après les traitements, car ces derniers peuvent être à l’origine de troubles pouvant favoriser ou aggraver une dénutrition (perte d’appétit, troubles du goût…)25,26,27. Il peut être nécessaire de conseiller aux patients d’adapter leur alimentation en conséquence, mais aussi le cas échéant de procéder à des adaptations au moment de prescrire ou délivrer des CNO (goûts, textures…) pour en faciliter la consommation12,28,30.

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* La Société Francophone Nutrition Clinique et Métabolisme était auparavant aussi nommée SFNEP. Elle est aujourd’hui nommée SFNCM. 
Les compléments nutritionnels oraux de la gamme Fresubin® sont des denrées alimentaires destinées à des fins médicales spéciales, pour les besoins nutritionnels des patients dénutris (légèrement à modérément) ou à risque de dénutrition, après échec de l'enrichissement de l'alimentation. À utiliser sous contrôle médical. 


Références : 

1. Institut national du cancer (INCa). Panorama des cancers en France – Édition 2022. 2022. 31 pages. 

2. Hébuterne X, Lemarié E, Michallet M, de Montreuil CB, Schneider SM, Goldwasser F. Prevalence of malnutrition and current use of nutrition support in patients with cancer. JPEN. 2014 Feb;38(2):196-204. 

3. Institut National du Cancer (INCa). Impact des facteurs nutritionnels pendant et après cancer – Synthèse. Septembre 2020. 11 pages. 

4. Institut National du Cancer (INCa). Recommandations nutritionnelles pour les professionnels de santé prenant en charge des patients atteints de cancer pendant et après la maladie. 2022. 2 pages. 

5. Institut National du Cancer (INCa). Soyez attentif à votre état nutritionnel 3 novembre 2011. En ligne : https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Qualite-de-vie/Nutrition (Consulté le 14/06/2024). 

6. Programme National Nutrition Santé (PNNS). Dénutrition : une pathologie méconnue en société d’abondance. 2010. 93 pages. 

7. Institut National du Cancer (INCa). Alimentation pendant et après le cancer. 26 août 2022. En ligne : https://www.e-cancer.fr/Professionnels-de-sante/Recommandations-et-outils-d-aide-a-la-pratique/Accompagnement-du-patient/Alimentation-pendant-et-apres-le-cancer (Consulté le 14/06/2024). 

8. Société Francophone Nutrition Clinique et Métabolisme (SFNEP). Nutrition chez le patient adulte atteint de cancer. Novembre 2012. 

9. Haute Autorité de Santé (HAS). Recommandation – Diagnostic de la dénutrition de l’enfant et de l’adulte. Novembre 2019. 

10. Haute Autorité de Santé (HAS). Recommandation – Diagnostic de la dénutrition chez la personne de 70 ans et plus. Novembre 2021. 

11. Haute Autorité de Santé (HAS). Fiche - Diagnostic de la dénutrition chez l’enfant, l’adulte, et la personne de 70 ans et plus. Novembre 2021. 

12. Haute Autorité de Santé (HAS). Recommandations - Stratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée. Avril 2007. 

13. Assurance Maladie. La prescription d’activité physique adaptée : une thérapeutique non médicamenteuse. 22 mai 2024. En ligne : https://www.ameli.fr/medecin/sante-prevention/activite-physique-activite-physique-adaptee/prescription-activite-physique-adaptee (Consulté le 14/06/2024). 

14. Institut National du Cancer (INCa). Dénutrition pendant et après le cancer. 14 octobre 2020. En ligne : https://www.e-cancer.fr/Professionnels-de-sante/Facteurs-de-risque-et-de-protection/Denutrition (Consulté le 14/06/2024). 

15. Dispositif spécifique régional du cancer - Onco-Occitanie. Le parcours de soins du patient. En ligne : https://onco-occitanie.fr/le-parcours-de-soin/schema-global-du-parcours/ (Consulté le 14/06/2024). 

16. Dispositif spécifique régional du cancer - Onco Hauts-de-France. Acteurs des établissements de santé. 8 janvier 2021. En ligne : https://www.onco-hdf.fr/le-reseau/acteurs-en-cancerologie/acteurs-des-etablissements-de-sante/ (Consulté le 14/06/2024). 

17. Assurance Maladie. Dénutrition : la repérer rapidement. 16 novembre 2022. En ligne : https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/amaigrissement-et-denutrition/denutrition-la-reperer-rapidement (Consulté le 14/06/2024). 

18. Programme de recherche RENESSENS (soutenu par l’Agence Nationale de la Recherche). Grand âge et petit appétit. Novembre 2020. 43 pages. 

19. Haute Autorité de Santé (HAS). Argumentaire scientifique de la recommandation : diagnostic de la dénutrition de l’enfant et de l’adulte. Novembre 2019. 

20. Société Francophone Nutrition Clinique et Métabolisme (SFNEP). Cancer et dénutrition - dossier de presse. Septembre 2018. Accessible en téléchargement : https://www.sfncm.org/images/stories/communique_presse/DP_Cancer_Denutrition.pdf (Consulté le 14/06/2024). 

21. Institut National du Cancer (INCa). Les soins de support tout au long du parcours de soins. 9 novembre 2021. En ligne : https://www.e-cancer.fr/Professionnels-de-sante/Parcours-de-soins-des-patients/Soins-de-support-dans-le-parcours-de-soins (Consulté le 14/06/2024). 

22. INSTRUCTION N° DGOS/R3/INCa/2017/62 du 23 février 2017 relative à l’amélioration de l’accès aux soins de support des patients atteints de cancer. 

23. Institut National du Cancer (INCa). Référentiel organisationnel national – Soins oncologiques de support des patients adultes atteints de cancer. Octobre 2021. 104 pages. 

24. Muscaritoli M, Arends J, Bachmann P, et al. ESPEN practical guideline: Clinical Nutrition in cancer. Clin Nutr. 2021 May;40(5):2898-2913. 

25. Centre de lutte contre le cancer Léon-Bérard – Lyon. Dénutrition et cancer. En ligne : https://www.centreleonberard.fr/patient-proche/vous-accompagner/soins-de-support/nutrition/denutrition-et-cancer (Consulté le 14/06/2024). 

26. Société canadienne du cancer. Perte d’appétit. Décembre 2019. En ligne : https://cancer.ca/fr/treatments/side-effects/loss-of-appetite (Consulté le 14/06/2024). 

27. Les CNO contre la dénutrition. Cancer : 40 % des malades souffrent de dénutrition. 26 septembre 2023. En ligne : https://lescnocontreladenutrition.fr/cancer-40-des-malades-souffrent-de-denutrition/ (Consulté le 14/06/2024). 

28. Assurance Maladie. Amaigrissement et dénutrition : comment y remédier ? 18 avril 2023. En ligne : https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/amaigrissement-et-denutrition/amaigrissement-et-denutrition-comment-y-remedier (Consulté le 14/06/2024). 

29. Société canadienne du cancer. Changements du goût. Décembre 2019. En ligne : https://cancer.ca/fr/treatments/side-effects/taste-changes (Consulté le 14/06/2024). 

30. Ligue contre le cancer. Alimentation et cancer : comment s’alimenter pendant les traitements ? Novembre 2017. 27 pages. 

31. Institut Gustave Roussy. Dénutrition & troubles du goût. Août 2014. 8 pages. 

32. Société française de nutrition entérale et parentérale (SFNEP). Informations au patient bénéficiant d’une prescription de compléments nutritionnels oraux. Accessible en ligne : https://www.sfncm.org/images/stories/pdf_info_patient/NCM3_fiche_complement_nutri.pdf (Consulté le 14/06/2024). 

33. Institut Gustave Roussy. Dénutrition et cancer : sensibiliser et agir. 22 novembre 2022. En ligne : https://www.gustaveroussy.fr/fr/denutrition-et-cancer-sensibiliser-et-agir (Consulté le 14/06/2024). 

34. Institut National du Cancer. Dénutrition chez les patients atteints de cancer : un risque avéré sur le pronostic de la maladie. 13 novembre 2020. En ligne : https://www.e-cancer.fr/Presse/Dossiers-et-communiques-de-presse/Denutrition-chez-les-patients-atteints-de-cancer-un-risque-avere-sur-le-pronostic-de-la-maladie (Consulté le 14/06/2024). 

35. Société Francophone Nutrition Clinique et Métabolisme (SFNEP). Cancer et dénutrition - dossier de presse. Septembre 2018. Accessible en téléchargement : https://www.sfncm.org/images/stories/communique_presse/DP_Cancer_Denutrition.pdf (Consulté le 14/06/2024). 

36. Bouteloup C, Besnard I, et al. Nutrition chez le patient adulte atteint de cancer : quand et comment prescrire des compléments nutritionnels oraux (CNO) hors pharmaconutrition ? Nutrition Clinique et Métabolisme. Décembre 2012 ;26(4):219-237. 

37. Réseau Régional de Cancérologie ONCO Hauts-de-France. Les compléments nutritionnels oraux (CNO). Guide destiné aux patients. Novembre 2021. 


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